jeudi, 10 février 2011
A L'ECUME D'INCENDIE
Une femme sur l'océan
Comme le vol d'un missile
Egrène des secondes mordorées
Sur une langue de violon
Le temps d'une spirale ondulée
Comme les hanches d'une danse
Le temps s'écartèle en douceur
Pour y déposer un baiser
Soupir de bienvenue
Dans le temple des flots
Là où s'arrêtent les choeurs
Et où respire le silence
18:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
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