vendredi, 18 février 2011
UGANDA
Des semences de douceur
Apaisent les rivières de larmes
Quand d'Afrique se lèvent
Les alizés ondoyants
Les voix des esprits frôlent
De leurs accords délicats
Les blessures verdoyantes
Des champs du soleil
Noire est la fille nue
Qui danse sur la terrasse
Les seins si mûrs
Qui fleurissent l'aventure
14:21 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Tandis que...
"Des semences de douceur..."
Assurent la pérennité d'une langue qui fait langage en passant...
DUR...
Dure...
Notre écriture...
En parlant !
Si elle demeure en vivance de l'humain qui "s'écrit tout en blanc jusqu'à " faire tâche sur l'asphalte"... dont vous explorer la grisaille de l'accent... pour parvenir à parler de... la vie mise en instance.
Là où tout est...
Noir.."la grisaille" fait tâche... sur blanc" vers "Deux mains"...
Assemblées... à la conjonction d'un calame... on parle et en définitive, on s'entend... Peut-être ?
Écrit par : MOI... | samedi, 19 février 2011
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