samedi, 26 mars 2011
PALACE DE PLEIN AIR
Jubile un bijou qui rutile
Sans utilité autre que futile
Jubile un banjo subtil
Sous les terrils hydrophiles
Maestro de la douceur
L'arpège développe ses volutes
En sandales de clarté
De la beauté sans quartier
Sur un blues sans un cri
Le murmure s'élance épanoui
Suspendu au sourire
Qui scintille dans ses yeux
19:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.