mardi, 03 mai 2011
OREES
Toujours l'un d'entre nous veille
A la bannière étoilée au croissant fertile
A l'arc ou au marteau
A la plume comme à l'acier
Le regard transmuté
Des étoiles pourpres
Au bout des ongles
Les émeraudes enchâssées
Dans leur orbite nucléaire
Peignent au pigment les vifs
Toujours l'un d'entre nous veille
La cigarette nonchalante
Le poignet ouvert
Les veines déliées
19:38 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
une douille bien chargé avec un vodka pomme une trace un emprunte...et pis faut bien se faire des petits plaies sire,non?
tes poemes sont trop ou pas assez,@+
Écrit par : cres | jeudi, 05 mai 2011
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