mardi, 07 juin 2011
TES TROIS TÊTES
A la porte
Sans nul doute
Puisque rien ne brise
La larme qui se répand
Dans ces lieux sans sommeil
Qui couvent la nuit
D'où éclos le printemps
Dans son armure de givre
Seul un son
Odorant s'il en est
En inondant les chairs
De son arôme enchanteur
14:28 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
http://www.youtube.com/watch?v=1C3Mc53fm7Y
oui oui et les trois feres
Écrit par : cres | jeudi, 09 juin 2011
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