mardi, 28 juin 2011
UN QUELQUE PART
Au confluent de la lenteur
Et de l'éclair
Là où règne sans partage
La douceur solitaire
De l'or sur les paupières
Pour iriser les altitudes
Et la coiffure échevelée
Que le vent caresse
A longueur d'un temps
Qui s'immole rayonnant
12:49 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
This is good.
Écrit par : Val | mardi, 28 juin 2011
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