mercredi, 10 août 2011
ESQUISSE D'UN TRUC
La poésie se diffuse
Comme un virus mutant
Fait de polysémie et d'amour
Un entrejour émerveillant
La poésie s'infuse
Tel un venin sylvestre
A la chlorophylle pourpre
Sur sang d'argent
Jamais elle ne refuse
Le duel de la caresse
Un ballet de feu-follet
Ou l'oblation du kaléidoscope
20:05 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Elle se diffuse, elle se dilue, mais, comme en homéopathie, il es reste toujours quelque chose.
Écrit par : ariaga | lundi, 15 août 2011
Les commentaires sont fermés.