mercredi, 31 août 2011
LA VOIX DU BAISER
Des mains dans le noir
Dessinent des ombres chinoises
Au velours électrique
Et au décibel aromatique
Un toucher de velours
Parcourt un frisson
Au teint sensuel
Et aux lèvres impudiques
Toute proposition s'enivre
En tourbillons et dentelles
L'espace d'un scintillement
De sourire au jasmin
14:54 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Merci pour ta poésie qui coule comme de l'eau. Une eau qui est parfois l'eau de feu des désirs.
Écrit par : ariaga | mercredi, 31 août 2011
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