mercredi, 14 septembre 2011
HABIBI
Sur la route qui s'en va
Parcourir le champ de vision
L'expansion irradie son venin immobile
En rayonnant hors périmètre
Toujours la même histoire
Aux perspectives infinies
Un chant de miel
Et de mouvance ciselée
L'inspiration s'aiguise
Dès le tout premier instant
Tel un couteau de soleil
Sur la douceur de la nuit
Un flot magique
Emerge de la chaleur de l'iceberg
Panthéon de velours
Sur canapé d'oxygène
16:13 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Habibati
Sous l’asphalte qui s’étire
Déflagrant la visée du réticule
Le vecteur réfracte sa topographie
Traceur d’éther sur fonds de galaxie
Les ruptures jamais semblables
Lors d’un séisme tape-à-l’œil
Un bruissement sans décibel
Où s’entortillent les tympans
Le papyrus reste une feuille blanche
Dès la première trame d’une filature
Tel un roseau sorti des forges bleues
Au cœur d’une trépanation cérébrale
Le lignage est numéroté
Depuis un pavé numérique
Une odyssée de couleur soie
Sur des branchages de sélénium
Écrit par : atlas | jeudi, 15 septembre 2011
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