samedi, 19 novembre 2011
METAUX LOURDS
Quoi que tu fasses
Quoi que tu veuilles
Tes doigts pianotent
La mélodie des laminoirs
Là on forge l'acier
Dans la dentelle du velours
Un extrait de ginseng
Sur un fond de douceur
Les barbares déferlent
En larmes de joie
En décolletés troublants
En apocalypses de soie
17:16 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je viens voir, de temps en temps et ta poésie est toujours aussi profonde.
Écrit par : ariaga | mercredi, 07 décembre 2011
Un beau texte
Écrit par : Mireille | vendredi, 23 décembre 2011
Les commentaires sont fermés.