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lundi, 05 mars 2012

DE LA LIQUEUR DES FAUVES

La ville n'est que parking

Ce qui n'empêche pas la danse

De sculpter les facettes

Des reflets de la brise

 

Et la pluie chante

Sous les pas d'étincelles

Au cuir sucré comme un velours

Qui s'émancipe de lui-même

 

Elle passe elle passe elle passe

Dans un souffle de lune

Un air d'hydromel

Ou un carrousel de flocons

Commentaires

Et la pluie chante
Sous les pas d'étincelles

(c'est vrai)

Écrit par : La meunière... | mardi, 06 mars 2012

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