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vendredi, 13 avril 2012

LE NEANT DES DIVISIONS

La mémoire claire

Eperdue de contemplation

Devant les images

Qui défilent en arabesques

 

Qui sait dire

Le son seul luit

Comme une étincelle

Qui résonne en douceur

 

Le long des corridors

Les yeux allument des brasiers

Où danse étincelante

La femme aux jambes d'or

Commentaires

Puis advient le jour où l'ombre du néant nous éclaire.
Soudainement... sur la portée d'un ensemble échangé à distance... à défaut de pouvoir être partagé in situ... de facto... un ver nous fait émettre un son de concert à tisser sur la toile des "maux" émis..
Je crains que la poésie que nous propulsons mot à mot ne soit que cela... un accent grave de passage sur terre vivant dans l'air du Temps...
Il y a là, je crois, un son essentiel que nous devons explorer en toute légèreté lorsque nous écrivons ?

Écrit par : La meunière... | vendredi, 13 avril 2012

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