vendredi, 13 avril 2012
LE NEANT DES DIVISIONS
La mémoire claire
Eperdue de contemplation
Devant les images
Qui défilent en arabesques
Qui sait dire
Le son seul luit
Comme une étincelle
Qui résonne en douceur
Le long des corridors
Les yeux allument des brasiers
Où danse étincelante
La femme aux jambes d'or
18:46 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Puis advient le jour où l'ombre du néant nous éclaire.
Soudainement... sur la portée d'un ensemble échangé à distance... à défaut de pouvoir être partagé in situ... de facto... un ver nous fait émettre un son de concert à tisser sur la toile des "maux" émis..
Je crains que la poésie que nous propulsons mot à mot ne soit que cela... un accent grave de passage sur terre vivant dans l'air du Temps...
Il y a là, je crois, un son essentiel que nous devons explorer en toute légèreté lorsque nous écrivons ?
Écrit par : La meunière... | vendredi, 13 avril 2012
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