samedi, 14 avril 2012
RAYURES ARGENTIQUES
Je cicatrice des merveilles
Quand ma vanité se tait
Et que s'effondrent
Les chäteaux espagnols
Je me recouds instantanément
Comme la plastique insondable
De la maîtresse aux yeux d'or
Qui fabule les mondes
Il n'est pas de blessures
Jamais la carrosserie ne souffre
En d'autres lieux que le rêve
Qu'elle-même s'est bâtie
17:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
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