dimanche, 09 septembre 2012
PILLAGE
Un dub nocturne enflamme
Les chaleurs de la ville
Sous le rythme aromatique
D'un bombardement psychotrope
Le sable bout autour de l'oasis
Central Park à minuit
Rayonne ses chlorophylles
Aux bras des amoureux
On a lâché les trains
Qui zèbrent l'atmosphère
De leurs senteurs de glycine
Sur fond d'orchidée majeure
Lentement s'infuse l'osmose
Pénétrant os et moelle
La mue du serpent s'achève
Sur un festival monochrome
15:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
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