mercredi, 19 septembre 2012
L'OEIL DE LA RIVIERE
Loin des marigots
Où croupit le bétail
La tribu absente ne répond
Qu'à la lueur de l'étoile filante
Sur des chevaux d'argent
Sans harnais ni mors ni étriers
Les plumes volent en souriant
Tels des faucons de douceur
Abeilles dont la reine
N'est qu'allégeance au sang versé
Elégance des garces effrontées
Qui ne connaissent qu'un seul diadème
20:01 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
superbe poème
merci
Écrit par : pinto | dimanche, 11 novembre 2012
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