samedi, 15 décembre 2012
LUTTE DE CLASSE
A la sortie de l'usine
Les bars trônent sur l'avenue
Qui mène au port de plaisance
D'où s'évadent les rêves
Pour gagner la liberté
Au bout de baïonnettes
Dont la pointe effilée comme une plume
Trace les veines du pendu
Et les artères du centre-ville
Sur la peau d'un tambour royal
Comme une nuit d'opéra
Ou un matin clair de printemps
09:40 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Les rêves s'évadent toujours, au clair d'un matin de printemps ou bien au coeur d'une nuit sombre ..
Écrit par : cat | mercredi, 16 janvier 2013
Les commentaires sont fermés.