jeudi, 28 mars 2013
D'UN NECTAR L'AUTRE
Des fleurs et des fusils
Au scalpel découpent la nuit
Balles traçantes sur fond d'encre
Le tempérament des amantes
Ainsi va la révolution
Qui tourne au vent la dérision
La miséricorde et ses sœurs
S'effeuillent enlacées en plein cœur
Que l'ambroisie coule à flots
Sur le monde des vélos
Pas de l'oie pour girouette
Qui s'éveille quand on la fouette
15:42 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
héhé, des mots qui fouettent, oui... :)
bises printanières puisqu'on est en l'air...
Écrit par : mamalilou | lundi, 06 mai 2013
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