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jeudi, 04 avril 2013

POUR MES MOIRES

Une caravane de rêve

S'éveille à l'électricité

Une étoile sur le désert

Qui pâlit en s'étirant

 

Dune de sable dans une goutte d'eau

A la saveur du cristal s'amplifie

La résonance de l'étincelle

Dans le carafon vide

 

Les montagnes repeignent

A l'oxygène émerveillé

La trame du grain qui luit

Sous le métier des Parques

Commentaires

C'est bien vu, bien ressenti, traduit avec exactitude.

Écrit par : La meunière | samedi, 04 mai 2013

La poésie renseigne "tout jour" notre ignorance en "pleine nuit"... pour parvenir à forcer la parole de notre vérité personnelle"... mise en instance de son vivaint... il me semble ?...

Écrit par : La meunière | samedi, 08 juin 2013

Tandis que le silence fait force de loi en "soie"... on rebondit en soi par nécessité "un jour pas fait comme un autre"... un ver "autre" surgit... nous advenons alors en versification ? Peut-être ? L'espoir fait vivre... ou respirer en écriture ? Ah ?

Écrit par : La meunière | samedi, 17 août 2013

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