jeudi, 04 avril 2013
POUR MES MOIRES
Une caravane de rêve
S'éveille à l'électricité
Une étoile sur le désert
Qui pâlit en s'étirant
Dune de sable dans une goutte d'eau
A la saveur du cristal s'amplifie
La résonance de l'étincelle
Dans le carafon vide
Les montagnes repeignent
A l'oxygène émerveillé
La trame du grain qui luit
Sous le métier des Parques
20:42 | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
C'est bien vu, bien ressenti, traduit avec exactitude.
Écrit par : La meunière | samedi, 04 mai 2013
La poésie renseigne "tout jour" notre ignorance en "pleine nuit"... pour parvenir à forcer la parole de notre vérité personnelle"... mise en instance de son vivaint... il me semble ?...
Écrit par : La meunière | samedi, 08 juin 2013
Tandis que le silence fait force de loi en "soie"... on rebondit en soi par nécessité "un jour pas fait comme un autre"... un ver "autre" surgit... nous advenons alors en versification ? Peut-être ? L'espoir fait vivre... ou respirer en écriture ? Ah ?
Écrit par : La meunière | samedi, 17 août 2013
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