mardi, 01 octobre 2013
CANTATE FAUVE
De la brume pourpre surgit
L'âme émerveillée du lion
Qui caresse l'argent du regard
Sur les armoiries de la vie
Quand la cité se dépeint
Sous le make-up des convenances
L'ombre perd l'aura de son fard
Comme une blanche pierre bénite
Au droit du soleil les assassins
Forment une confrérie monozygote
Qui rayonne sans souci de vraisemblance
Sur les torrents du crépuscule
15:10 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
http://www.youtube.com/watch?v=uO3Bhd9prR8
Écrit par : aaa | dimanche, 06 octobre 2013
excellent j'ai envie de devenir consultant seo quand je lis ça.
Écrit par : cultivaref | lundi, 21 octobre 2013
Mon cher confrère en poésie...
Songez au "lion ailé" qui siège sur une place à Venise...
Mais aussi à Barcelone... au sommet d'un des piliers de la Sagrada Familia...
"Vamonos..."
Écrit par : La meunière | vendredi, 25 octobre 2013
Presque chauve !
Écrit par : Tietie007 | lundi, 04 novembre 2013
oui !
où à l'autre !
celui qui n'a plus ses ailes (enfin, en apparences...)
vous savez, en Égypte, au pieds (!) des pyramides...
enfin je dis cela, je ne dis rien...
biz
Écrit par : Pessah | dimanche, 15 décembre 2013
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