lundi, 14 novembre 2005
L'ESPACE D'UN INSTANT
Que tout dans cet instant soit parfait
C'est dire de quelle nature il apparaît
Quand l'instant surgit du néant
Le Néant surgit dans l'instant
Vide ou forme, forme ou vide
Peu importe à cet instant impavide
Qu'il y ait tout plutôt que rien
N'existe que ce qui jaillit de ton sein
Intense au point d'être imperceptible
Sonore au point d'être inaudible
Virulent au point d'être indicible
Enorme au point d'être invisible
Pour le plaisir des sens éteints
Pour signifier la fin des chagrins
Contemple ce Tout qui t'envahit
Jusqu'au point ou ce Rien t'éblouit
01:05 | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Superbe illustration de la sublimation de l'éphémère instant. Effectivement, il est tout et il n'est rien; mais sans lui, pas de vie possible. C'est lui qui meuble le temps qui passe, c'est lui qui colore les heures qui sonnent, c'est lui qui construit l'être et pave le chemin de la destinée.
Écrit par : aeraine | lundi, 14 novembre 2005
Sans vouloir vous vexer je trouve cela très moyen pour ne pas dire franchement ininterssant.
Écrit par : nicolas | lundi, 14 novembre 2005
nicolas: je pense que la vie pour toi se résume à: pogonon-sex-dodo!!! C'est ton droit, je le respecte mais je ne le partage pas.<
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A ce demander en combien de facettes est taillé le diament.
Écrit par : aeraine | lundi, 14 novembre 2005
Tu te trompes petit(e), je suis poète des petits boulevard, là où je vis pas d'argent, pas de sexe et noctambule que je suis, je préfère me plonger dans le regard mélancolique de la Lune que de déserter la nuit dans mes rêves.
Je connais énromément de poètes, de musiciens, de rêveurs comme moi, mais cela dit j'aime critiquer la poésie superficielle, ou tout simplement celle que je n'aime pas comme celle de gmc (qui a certe du vocabulaire mais ne sait manier les mots). De plus j'ai lu un peu les autres articles, et se dégage de ses textes (et également dans les comemntaires et dialogues avec les visiteurs) un esprit très intolérant que je ne peux que repousser.
Je tiens a ajouter que je trouve cela puéril de juger une personne (moi en l'occurrence) par rapport a des sujets comme l'argent ou le sexe dont il n'est absolument pas question ici. A croire que vous rejeter sur moi des vices pioché au hasard (ou dans les pires) parce que ma critique ne vous plait point. Cela dit je ne suis pas rancunier, si vous êtes prêt(e) à reconnaître votre tort sur ce point là.
Bien à vous.
Écrit par : nicolas | lundi, 14 novembre 2005
on ne voit de l' intolérance ici que considéré d'un point de vue immoral, laxiste et totalement permissif. dans tout autre cas de figure, il n'y a rien ici s'approchant de l'intolérance
Écrit par : gmc | lundi, 14 novembre 2005
tiens tu n'a pas fait un poême pour repondre ? byzarre ....serait tu en manque d'inspir ?
Écrit par : wolf | lundi, 14 novembre 2005
ça te chagrine?
Écrit par : gmc | lundi, 14 novembre 2005
bah ouai ! snif dommage tu n'est vraiment plus inspiré !
Écrit par : wolf | lundi, 14 novembre 2005
J'ai vraiment un problème de commentaires!!!
Nicolas, je résume: j'admire tes prises de position et les respecte. Je n'ai pas voulu te blesser, simplement exprimer une révolte dont tu fus un figurant inintentionné.
La vie est souvent difficille à vivre!!! Mais je ne juge pas, j'essaie de comprendre...Peut-être me laisseras-tu approcher la mélancolie de ta lune protectrice!?!
Écrit par : aeraine | mercredi, 16 novembre 2005
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