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mardi, 10 janvier 2006

AU DELA DU FANTASME

Il me suffit que m'apparaisse
Ce doux éclat pur et charmant
Qui de ces doigts est immanent
Pour qu'en cette pauvre âme renaisse
Un ancien monde d'Amour aimant
Propageant partout l'allégresse

Comme une caresse de satin
Sur un être sorti du paraître
De qui l'envol s'appelle renaître
Pour qui la Vie n'a plus de fin
Une prairie festive pour n'être
Qu'Amour et joie sans lendemain

Depuis toujours existe l'ensemble
Dont la lumière rayonne partout
De l'obscurité elle se joue
Seule la stupide inconscience tremble
De se retrouver à genoux
Un jour ou l'autre tout se rassemble

En tout lieu se trouve sa couche
Dans chaque son s'entend sa voix
Un seul frisson, dix mille émois
Chaque contact fait toujours mouche
C'est dans la permanente joie
Que s'exprime cette auguste bouche

La Vie s'exprime en permanence
Sans cesse elle resplendit de beauté
Qu'il suffit juste de contempler
L'Amour n'en est qu'une occurence
Qu'il n'est nul besoin de nommer
Les mots n'ont aucune importance

C'est là la fin du désarroi
De l'illusion des mauvais rêves
L'incendie brûlera sans trève
Et dissipera tous les froids
Quand le Souffle jaillit des lèvres
Il n'existe plus aucun moi

Il me suffit que m'apparaisse
Ce doux éclat pur et charmant
Qui de ces doigts est immanent
Pour qu'en cette pauvre âme renaisse
Un ancien monde d'Amour aimant
Propageant partout l'allégresse

Commentaires

mais aucune Elsa n'apparait dans ce poème ?

Écrit par : le fou de Leila | mardi, 10 janvier 2006

en quoi cela pose-t-il problème?

Écrit par : gmc | mardi, 10 janvier 2006

Les commentaires sont fermés.