jeudi, 12 janvier 2006
MIROIRS DEFORMANTS
Tu as aimé la projection que tu faisais
Tu as aimé les vertus que tu lui prêtais
Tu as aimé les fantasmes de ton mental
Tout ce que tu racontes n'est juste qu'imaginal
Le reflet dans ses yeux que tu as admiré
N'est qu'un pur délire que tu as imaginé
Incapable que tu étais de le contempler
Dans la resplendissante lueur de l'êtreté
Tout ce que tu contes là n'est que pauvre illusion
Qui confine l'être aux limites de la déraison
Comment mythifier ces pauvres hallucinations
A du être toute l'étendue de tes questions
Regarde, certaines femmes pour illustrer l'amour
Ne savent que des mots des hommes s'orner alentour
Ceux-ci ne sont pourtant qu'images irraisonnées
Qu'elles savent ne pas être vraiment réalité
Tout ceci n'est que jeu cruel des apparences
La vanité, la frustration, en références
Rien qui ne s'apparente à cet état d'Amour
Dont ruissellent les aimées quand elles otent leurs atours
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