jeudi, 09 février 2006
MOINS QUE BLANC
Quand l'arbre est dénudé, haut le coeur
Les fruits commencent à donner, nouveau coeur
Eau et feu dissous dans l'éther donné
Touchante réalité, en plein coeur
Feu sans flammes allumées, braise vivante
Au-delà des cendres dispersées, pluie ardente
Foin des pathologies de l'esprit aliéné
Passion et nostalgies tuées, rayonnante
Plus de temps ni d'heure, dans cet air
Plus d'amants menteurs, éphémères
L'unique saison de l'Amoureux du coeur
Eperdu de tendre ferveur, légionnaire
23:20 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
:-)
Écrit par : yoyostereo™ | vendredi, 10 février 2006
Tres joli poème. J'aime bien la tonalité de ce blog, je reviendrai.
Écrit par : Anne printemps | samedi, 11 février 2006
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