dimanche, 19 mars 2006
COUPLE MONOGAME
Mais l'Amoureux s'en va par les chemins perdus
Aérienne est sa foulée dans cette immobile
Journée qui s'éternise loin des idées reçues
Nul ne sait où son coeur a trouvé une ville
Unique saveur de l'âme qui se trouve nue
Nuée de l'absent égarement du futile
Etang sur lequel se reflète cette allégresse
Tel un joli miroir qui ressent la caresse
La belle se trouve alors charmée par ces merveilles
Et resplendit comme les producteurs de jasmin
Il n'est plus rien pour elle qu'une aurore sans soleil
Les soucis ont abandonné son front serein
A l'aube du printemps sous le signe du miel
16:45 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Puisse ton beau poème convoquer effectivement
ce printemps qui est
si on en croit le calendrier
à notre porte
et dont pourtant
rien n'annonce le souffle tiède
(jolie présence de la femme dans ton texte)
Écrit par : le bateleur | dimanche, 19 mars 2006
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