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jeudi, 27 mars 2008

SILVER ON BLACK

Quand la vitesse d'un point d'impact atteint le seuil supraluminique, les lignes d'idées s'arrêtent tels des enchantements improvisés, dans de voluptueuses courbes pratiquant le génocide actif de toute particule insolvable en débitant les comptes-clients à lenteur grand L. Les mathématiques frigorifiées deviennent sphère de jouissance qui peint des étendards à la saveur bleue des mirages colonisateurs de syntaxes désuètes pendant que des zones d'arborescence non urbaines se peuplent de gerçures nouvelles, délicates attentions que le vent du grésil porte aux yeux des fenêtres assoupies par la morne conjecture des vésicules poussiéreuses. Les trottoirs du Havre, paradoxaux et mouvants dans leur stase impériale, annihilent toute idée de domesticité ainsi que tout déchet conceptuel issu des fantasmagories sérieuses des bancs de rameurs enchaînés par les minarets méandriques. Des cimetières d'autocars réinventent les contes de Perrault, dévorant les chats noir au débotté et surlignant l'échancrure du corsage du Petit Chaperon Rouge tout en regardant des versions lesbiennes de Cendrillon et de la Belle au Bois Dormant. Petit Poucet strikes again dans un attirail de surfer flambant neuf, skater d'argent boréal pour urbanités sans concessions automobiles et reliefs, glisse de luxe sur arc-en-ciel désensablé pour hydrofoiler pétrolifère marqué aux armes de la Blank Generation, la botte de Nevers, new style of close-combat en quelque sorte.

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