jeudi, 27 mars 2008
UNE AUTRE IVRESSE
Quand le vouloir cesse
Dans l'offrande sans retour
Advient ce qui se doit
Sans qu'un cil ne bouge
Sans que rien ne change
Les cercles s'élargissent
En aréoles concentriques
Pour laisser respirer
Le téton brûlant
D'un souffle paisible
21:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
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