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Tout le monde sait sans savoir
Et nul ne sait rien
Vouloir savoir
C'est découvrir l'ignorance
Magnifique et totale
Inventer les angelures et le givre
Décréer les noeuds gordiens
Décréter l'incompétence universelle
Voir est un prétexte
A envisager l'extra-utérin
11:48 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Le jour disait" Tout ce qui peine m'accompagne, s'attache à moi, se veut heureux.
Témoins de ma comédie, retenez mon pied soyeux. J'appréhende midi et sa flèche méritée. Il n'est de grâce à quérir pour prévaloir à ses yeux.
Si ma cdisparition sonne votre élargissement, les eaux froides de l'été ne me recevront que mieux"
René Char/Chanson du velours à côtes
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Merci de vos passages chez moi et des mots déposés.
Bon week end.
Écrit par : Alix | samedi, 29 mars 2008
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