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samedi, 29 mars 2008

PUSHER TIME

Un dealer de crack
Passe le long du trottoir
Comme un blues sanglant
Venu du fond des steppes
Un yatagan dans les yeux
Sur le bitume des nuits sans lune
L'ombre réverbère la cocaïne
Dans les sanglots du mascara
Qui joint les pieds sans fond
Dans une ultime cabriole ensorcelée

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ESCROQUERIE PARALLÈLE

La patrouille policière
Coordonnée par la brigades des stups
Définit son périmètre de contrôle
L’indic a parlé d’un dealer muni d’armes blanches
Qui vend la poudre sans couleur plus belle que des paillettes d’or
À ceux qui sont cocaïnomanes pour sentir leur addiction à la vie
L’entrefilet est préparé par la PJ sous contrôle des RG au vu du lascar
Ce n’est pas Jacques Mesrine mais un dealer est mieux que rien
S’il a dans ses poches de quoi faire patienter les patrouilles en planque
Ne se doute de rien que de la baisse des cours de bourse
Car l’argent de la drogue n’a pas d’odeur pour l’augmentation des réserves
C’est Fort Knox dans sa poche une lune en micro grains de poussière qu’on sniffe
Les kilos sont découpés en sachets individuels moins quelques grammes
Les flics ont tout pris et vont le transférer aux mœurs
Pour ne pas voir le nom des stups inscrit au carnet d’adresse

Écrit par : pseudonymes1 | samedi, 29 mars 2008

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