mardi, 29 avril 2008
SORCELLERIE EN SPIRALE
Une aube de guerrier
Qui enjolive les communiantes
Dans le parfum des conflits
Sur lequel bouillonnent les arômes
Du chaudron de la comédie
Qu'un sourire peint au napalm
Sur les confins d'une lune
Promenant ses étoiles
Au balcon sylvestre où perle
Un cortège de merveilles
08:56 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
AUBE
Sur la mare du soleil
Les étoiles du papier
Etendent leurs longs doigts
Une colline d'eau
Ferme la porte des nuages
Où les chevaux du vent
Viennent brouter la lumière
A l'encolure de l'aurore
Qui lève encore les yeux
Aux grands jardins d'arôme
Dessinés dans l'écorce du ciel
Pour le plaisir d'une princesse
Aux longues pupilles de cristal
Écrit par : AUBE | mardi, 29 avril 2008
Encore le soleil se lèvera
percevoir sa dîme
Lèvres encore rouges
au soir sanglant
il couchera ses crépuscules
Aveugle
en robe de comédie
le bonheur fêtera le rouge et le noir
dans ces arômes de poudre
où la mort joue
Écrit par : jm | jeudi, 01 mai 2008
Encore le soleil se lèvera
percevoir sa dîme
Lèvres rouges
au soir sanglant
il couchera ses crépuscules
Aveugle
en robe de comédie
le bonheur fêtera le rouge et le noir
dans ces arômes de poudre
où la mort court encore
Écrit par : jms | jeudi, 01 mai 2008
Encore le soleil se lèvera
percevoir sa dîme
Lèvres rouges
au soir sanglant
il couchera ses crépuscules
Aveugle
en robe de comédie
le bonheur fêtera le rouge et le noir
dans ces arômes de poudre
où la mort court encore
Écrit par : jms | jeudi, 01 mai 2008
Les commentaires sont fermés.