jeudi, 01 mai 2008
FLUIDE COMME UN ORAGE
Un chant d'orage luit sur la plaine
Pas un ajonc ne tremble
Sous le cil de napalm
Qui caresse le temps
Des brumes jouent aux arabesques
Dans les couloirs de la mort
Au sourire de platine
Pour une voix aux reflets de cristal
Dévalant un ouragan d'arc-en-ciel
Sur des chevaux de feu
Aux robes d'argent
Et à l'haleine virginale
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