mercredi, 14 mai 2008
LA FRAICHEUR DES BARBELES
Les maisons ne souffrent
Qu'en raison des cadastres
Et des cartes routières
Qui traversent les atlas
Des fantaisies propriétaires
L'aventure au quotidien
S'enrichit de toute part
De meurtrissures étonnantes
Qui disparaissent au lavage
Des tommettes de vent
08:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
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