samedi, 16 août 2008
RUE DES TAILLEURS
Des infinis de ciel vert
Comme des opales noires
A l'iridescence écarlate
Sous des lambris de porcelaine
Des distances abolies
Emargent les contours absents
De fulgurances atroces
Et de velours d'hirondelle
Charme des voyages en sursis
Inondation que reçoit la mer
Tarie comme un oued
En forme de geyser
14:53 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
infini velours d'hirondelle
c'est très beau
ce poème :)
Écrit par : if6 | samedi, 16 août 2008
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