dimanche, 17 août 2008
FANTASMAGORIE SANS FAUBOURGS
Tout orage connaît les cavaliers
Formes de stratosphères
Aux ailes déployées
Bardés d’acide et de velours
Fleurs d’opale aux mille atours
Il n’est nul cavalier sans écrin
De foudre enluminée
Et d’aromates inconséquentes
Brûlure du destin à la main
Bouche à la saveur de satin
L’écrin connaît tout cavalier
Comme un reflet sans pitié
D’une lame aux tranchants mordorés
Emplie de la tendresse des bourreaux
Dont le coeur saigne le diamant
01:45 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Très beau !!!
L'amour serait-il un duel, un combat, selon toi ?? Et le désir une sensation violente ?
Eléonore M
Écrit par : Eléonore M | vendredi, 05 septembre 2008
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