jeudi, 04 septembre 2008
TANGO DE LA BASTON
Un point sur la gueule
Comme un poing de plexus
Solaire comme une hirondelle
Lunatique comme un Pierrot
Tais-toi et parle
La poussière chante
Sur le macadam des nuits
Qui ensorcellent les mémoires
De la lumière artificielle
Parle et tais-toi
Sur la musique des tronçonneuses
Qui larde les tranchées
De ses baïonnettes affutées
Au velours et au sucre
Un point cardinal
Sur un poing ordinal
Terraformation de l'informe
Overdose de la joie
11:44 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Un coup de pied au derrière, en somme ...
J'apprécie ta poésie, qui à mon sens demande d'être lue et relue pour bien s'en imprégner
Eléonore
Écrit par : Eléonore M | vendredi, 05 septembre 2008
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