jeudi, 04 septembre 2008
UN NUAGE D'OBSIDIENNE
Couche la mer
Dans des berceaux de fortune
Sur de l'étoile èmeri
Pour découvrir les patines
Et les révolutions assises
Crache la mort
Où resplendit la vie
Sans un soupir de circonstance
Plus haut qu'une allumette
En pyjama de peluche
Carafe en suspens
Pas de planning à respecter
Si ce n'est celui de l'hiver
Sur lequel resplendit
La chaleur du foyer
La pluie sait tout
Ce qu'il y a à savoir
Sur l'infinie étoile
Quand pastellisent les sanguines
Et que se lève l'ouragan
15:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
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