lundi, 27 octobre 2008
PAINS PERDUS
Le temps n'a aucune rive
Qui borde ce mouvement
Dont les à-côtés
Sont aussi le centre
Les mondes du temps
Sont des prétextes de dieux
Fantaisies létales
Pour imaginations déferlantes
Sous une larme d'héroïne
Un téton de feu
Rayonne en silence
Des velours de cocagne
14:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
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