samedi, 17 janvier 2009
A BLOODY RAIN
Bleeding on paper
Like a snowy avalanche
Falling from under the sea
On an ocean of white clouds
During the darkest night
Ever seen over the rainbow
Bleeding water by the sword
Lightning strikes with green aura
Firebolts upon the river flow
In arabesques of silk
21:59 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
(Et si la manifestation ci-dessous procédait du même espace ? Jai écrit cela dans REFLETS...)
LES BARQUES
Un jour
Comme une nuit
C'était au crépuscule
La lumière piratait
Les ombres minuscules
Etrangement
Elle rutilait
Sans rutiler
Parmi les barques
Mises en travers
De son glaive barbelé
Torche opalescente
Flamberge au vent
Le ciel bavait
En flammes verticales
Etrangement
Il s'écoulait sans couler
Le long des mâts
Sur les cordages
Même une voile fondait
Afin de surnager
Soleil nocturne
Une cale brûlait
A plat
Etrangement
En contrebas
Un horizon émergeait
Silence en feu
Sous la peau repassée
Ame changée en émule
Embrassée par le dieu
C'était au crépuscule
Comme en plein jour
Une nuit
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | samedi, 17 janvier 2009
Tu écris autant de poèmes chaque jour ? Ou tu en écrivais déja auparavant qui étaient bien à l'abris ? :O)
Écrit par : Douglas Majnun | samedi, 17 janvier 2009
j'en ai 2 ou 3000 en stock, mais ce sont des vieux trucs de 2006-2007-2008, pas utile de faire du recyclage quand il y a du neuf qui se présente.
Écrit par : gmc | samedi, 17 janvier 2009
L'apoësie est l'art de ceux qui courent sous la pluie; une arche d'alliance sous le bras et de prêtres pour se la disputer, point. Et de fidèles agenouillés, pas plus !
Mon bon salut.
Écrit par : Lephauste | dimanche, 18 janvier 2009
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