dimanche, 18 janvier 2009
GHOSTS IN THE MACHINE
Des étendards blancs
Flottent au crépuscule
La liberté se fagote toujours
Dans l'air du temps
Selon les besoins
Du scénario du jour
Dans les remous du fleuve
Des brindilles voient l'avenir
En rose et noir
Suivant l'horoscope
Des lanceurs de dé
Aux visions rationnelles
De clocher en corde à linge
L'espoir meurt en beauté
Pour les oreilles qui tournent
En boucles spiralées
Autour de l'axe intangible
De toutes les modernités
12:40 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
il y a comme du piercing dans l'air !
Écrit par : Echo | dimanche, 18 janvier 2009
à Echo : Les fantômes ont des ailes qui ne s'incrustent pas...
au poète : Ce matin, j'ai skié en aveugle dans la purée de pois... c'était angoissant d'écrire ainsi un poème sur la neige sans pouvoir décrypter les mots que "la poésie" me dictait...
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 18 janvier 2009
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