Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 18 janvier 2009

Ô DANSE INTENSE

Tout reste possible
Mais rien ne bouge
Hormis les seins tendres
D'une femme d'envergure
Qui aime les caresses
Dont la fraîcheur inonde
D'un parfum de cyprine
Les hanches troublées
Par le charme du reflet
De sa propre séduction

Commentaires

(MOUARIJ est ainsi... Le connaissez vous ?... Je vous le présente... Mouarij est mon frère...)

Mouarij habite une cape sur l'arène
Ce pré jaune de Naples
Parsemé de fruits rouges
Le cirque
Il joue du oud en coulisse
Le clown est musicien à l'entracte

Le costumier de "La rivière"
A osé tailler un burnous
Dans e tapis marocain
Puis il a cousu trois boutons
Elfes dorés au soleil
Dans son verger vendéen

Pomme de reinette et pomme d'Api
Tapis tapis rouge
Le clown a un ami

Ce soir le monde est fou
Les chevaux sont au cirque
On joue la comedia del arte
Eblouissement aveuglant
Et le peintre voit trouble
Les arlequins sont flous

Pomme de reinette et pomme d'Api
Tapis tapis gris
Le clown a perdu son ami

Avis de recherche
Au désespoir de la main
Il jette son gant sarrasin
Révèle sa ligne de malchance
Fusent les rires
La peinture l'éclabousse

Compote de pommes
Renversée sur la toile
Le clown a un vertige

L'éclipse lui saute aux yeux
Ses billes de suif avalent un cri
Il travestit l'épouvante
Extatique rétablit le silence
Magie d'un dieu sans pouvoir
Mouarij vit sur la piste aux étoiles

Pomme de reinette et pomme d'Api
Tapis tapis noir
L'orchestre donne le frisson.

MCT.-Reflets. à OSV

Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 18 janvier 2009

Oh... Combien j'aime ce silence...

Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 18 janvier 2009

Je confirme des poèmes à l'impromptu car...
Mon ancêtre "Joseph" s'évertuait à donner sa musique... dans le vide à son époque...
Tandis qu'elle perdure aujourd'hui... j'existe "autrement"... pour prolonger son vivant...
Et je vous sais gré de me laisser franchir le gué... sur la portée de votre poésie...

Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 18 janvier 2009

Les commentaires sont fermés.