Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 07 mars 2009

DU PAREIL AU MÊME

Le monde est inhabitable
Ne suppose pas qu'il soit inhabité
Combien suis-je en définitive
Pour peupler d'autre
Ces terres affriolantes
Inventer un toit de circonstance
Dans le creux d'une goutte de pluie
Une aubaine de merveille
Qui permet au spectacle
De danser sur la tapisserie
Que la nuit sublime
En opalescence et parfum

Commentaires

"Le monde est à reconnaître
sur les chemins effacés."

Jean Tardieu - Le fleuve caché

Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 08 mars 2009

Les commentaires sont fermés.