samedi, 07 mars 2009
DU PAREIL AU MÊME
Le monde est inhabitable
Ne suppose pas qu'il soit inhabité
Combien suis-je en définitive
Pour peupler d'autre
Ces terres affriolantes
Inventer un toit de circonstance
Dans le creux d'une goutte de pluie
Une aubaine de merveille
Qui permet au spectacle
De danser sur la tapisserie
Que la nuit sublime
En opalescence et parfum
19:01 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
"Le monde est à reconnaître
sur les chemins effacés."
Jean Tardieu - Le fleuve caché
Écrit par : Marie-Christine TOUCHEMOULIN | dimanche, 08 mars 2009
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