lundi, 09 mars 2009
COMME L'ECHO D'UNE LARME
C'est toujours le rire
Qui ouvre le printemps du poète
Dont les nombreuses formes
De spectacles vivants
Sont autant de sourires
A la vie hors l'ennui
C'est toujours le rire
Tonitruant d'un silence
Où l'orage est un rossignol
Dont les éclairs d'orange
Balisent une vanille
Au gousset étincelante
16:28 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
C'est l'herbe blanche
Qui auréole les sourires
De quelques corolles !
Écrit par : Echo | mercredi, 11 mars 2009
Laughter and tears, the sliding doors of the poet's soul. Merci GMC. :)
Écrit par : val | jeudi, 12 mars 2009
Les commentaires sont fermés.