mardi, 10 mars 2009
MAMIA D'IROULEGUY
Aucune heure ne coule
Sous le poids de l'aurore
Qui regarde s'écroule
Dans un torrent de sourire
Dressé immobile au fronton
Que n'atteint aucun pelotari
Accoudé assis sur la barrière
D'un mur du son en douceur
L'outrage plisse les yeux
Grand ouvert sur le vide
D'une symphonie de caterpillar
En émulsion odorante
16:05 | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
J'aime bien quand ça manque pas d'r.
Écrit par : Chr. Borhen | mercredi, 11 mars 2009
MA ROUE AIGUE
Un noeud coud
Sous l'oie d'or
Qui garde, s'écoule.
Dans un tort de sourd
C'est mobiles au front
Que teint aux pelotes
Un dé assure l'arrière
D'un museau en sueur
L'outre a le pli-Dieu
A l'Envers sur le dit :
Une info de pillards
En émue d'odorat.
Écrit par : frasby | samedi, 14 mars 2009
MAROUFLE CRUE
L'âne court serein
Sous le roi des corps
De garde qui s'écroulent
Dans un sou d'or
Play mobile affront
Tant que je pelote
L'idée d'un aryen mûr
Un fuseau dans l'odeur
D'outre-dieu au pli
Allant verse au lieu-dit
Unanime faux de billard
A la mue de Maurepas
Écrit par : gmc | samedi, 14 mars 2009
MA FOULE CRÛT...
L'âne-coussin
Roi des échos
garde l'écrou
Dans un seau d'eau
Plaie des milles affres
Aux temps des potes
L'édit d'un rien, remue
Un fût dans leur dos
D'où Dieu plie
L'envers du lit
Minée la fille
Nue ne mord pas.
Écrit par : frasby | samedi, 14 mars 2009
FULL ARMED CREW
Larme sous le sein
Boit les échos
Sans garde des clous
Dans un beau sceau
Plaid des milliards de fées
D'autant de sortes
Qu'édite un menu rien
Au dos des flutes
Qui disent aux doux yeux
Le lit de l'envers
D'un millet de filles
Manne d'un nu sans remords
Écrit par : gmc | samedi, 14 mars 2009
IL FAUT L'ARMER COURT
La mare oursin
Les volets clos
Sans goût, la garce
Danse un beau slow
Plaie des phare à Millet
D'hôtes en désordre
Des kilts, un lémurien
Les flots débutent
Douze yeux les quittent
L'envie de vert
Fibrilles habillées
Madame mûe, en robe or
Écrit par : frasby | dimanche, 15 mars 2009
AUX LARMES DES COURTILS
Parcours le sein
Les yeux mi-clos
Au goût des passes
D'un slow qui danse
Les mille fards de l'été
Hauts en désordre
D'un rien qui le mue
Des flots bruts
Aux doux yeux des quintils
Vis en vers
Fille qui brille déshabillée
Comme une dame nue enrobée d'or
Écrit par : gmc | dimanche, 15 mars 2009
AU LIT DES CARMES, L'OUTIL
Coussin de bar
Clos des messieurs
On peint son cou
A sa cadence
L'émile fait le têtard
Rôdé de sorte
Qu'un rien remue
Les flûtes pros
Des sous -Dieux décatis
Vernissent
En bris de billes, des fats billets
Comme une pomme nue au bord des drames
Écrit par : frasby | jeudi, 19 mars 2009
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