samedi, 25 juillet 2009
PLUIE BLEUE COMME IVOIRE
En habit de soie noire
Carrossée d’électricité
Profil d’uranium
Des légions sur le bout
D’une langue de platine
Pas un nuage ne tranche
L’harmonie du syndrome
Si ce n’est l’ombre éclatante
D’un artificier palindrome
Des treuils et des poulies
Spiralent en cadence
Sur les ellipses irradiantes
De la translucidité
Et l’organique sourit
Machine à plastifier
Les codes du plasma
Qui dévergonde les mondes
Matricule sans numéro
Mariachi sans sombrero
L’étrange étreinte d’un boléro
Au bon plaisir du maestro15:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
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