mardi, 28 juillet 2009
CONCORDANCE
Elle vient à ton rythme
Qui est le sien
A pas de velours
Feutrés comme un silence
Elle qui ne connaît
Que le rayonnement
Qui enlumine ses paupières
D'un foisonnement joyeux
De cil humide et doux
Comme une averse tranquille
08:20 | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
I read this three times. It is astounding. :)
Écrit par : Val | mardi, 28 juillet 2009
raccord
il est le rythme
immuable
à tire d'elles
étourdies comme l'instant
lui qui n'avoue
que le détachment
qui accorde les notes blessées
d'un revers énamouré
au cœur stérile
d'un désert verdoyant
Écrit par : @ude | mardi, 28 juillet 2009
Tiens, tiens, voilà notre bon vieux cynique de gmc qui fait dans le romantique! enfin, presque. Alors, en attendant de te retrouver chez Jalel, pourquoi ne jouerais-je pas un peu à l'avocat du diable chez toi?
J’ai aperçu le bout de la corde
Qu’elle traînait derrière elle,
La feutrée aux pas de velours.
A-t-on oublié de le couper ?
Elle n’est pas née, la concorde.
Écrit par : giulio | mardi, 28 juillet 2009
Les commentaires sont fermés.