vendredi, 02 octobre 2009
DES MASQUES
A l'inconnue qui passe
Le vent délace
Les corsets sans valeur
Le jour se mire
En des reflets-soupirs
Longs comme des sanglots
En forme de sourire
A l'inconnue qui passe
Le vent délasse
D'autre temps sans valeur
La nuit scintille
Jolie brindille
Sur la rosée des charmilles
Couleur pourpre d'azur
09:18 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
je crains que sans entente, faute d'être parvenu jusqu'au point de vous faire entendre, vous êtes parvenu jusqu'auau point qui vous isole...
Enfin, Gilles-Marie, évertuez ce que vous vous acharnez à oublier...
Une amie virtuelle à l'écoute... de votre silence... émis en ambiance...
Écrit par : Marie-Christine Touchemoulin | samedi, 03 octobre 2009
Un beau rythme
isolé ou pas, un rythme qui existe
avec ce texte.
Écrit par : Mireille | lundi, 05 octobre 2009
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