samedi, 20 février 2010
PLEURS ET MOTS DES LAVES
La mer en ses rangs
Si profonds d'engoulevent
File en vain le saut des crocs
Un vol réel surfe sur Issoudun
Rêve de l'envers au rire qu'on immole
Tribut d'hier épris des combes
Vermicelle du son où le désordre agonise
La foule hume irisée les têtes de pont
Très près des filous facilement
Le don des mots déterre l'amusement
Dont le fumet caresse la rainure
Du bord surligné d'un emprunt fou
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