samedi, 20 février 2010
POESIE DE LYONNESSE
L'eau des orpailleurs laisse l'ouragan
Araser la mer des mages centenaires
Sur les bancs du beau mur
Cher aux jarls et aux lionnes
Vitrailleuses de la mie du décor
Au glossaire d'omicron
Le dessert vire en nage
Dans les voileries de rêve qu'on tète
Debout au point nu du riz étrange
Qui décompresse sur les jupes d'ascension
La main parle un Volapük étonnant
Les idées croulent au fond des cils
Charriant les portes cubiques du réjouir
Les lyres et les ballots de Santa Claus
La police milite au bras des rues du pal
Face aux crèches de classe
Les tuniques attouchant l'est
Sur la paume d'un gauleiter
Coup de grisou en guise d'agrément
11:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
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