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Les soeurs de la Miséricorde


N'ont jamais disparu
Elles étaient là et m'aidaient
Quand je me sentais perdu
Elles m'ont réconforté
M'ont donné des chansons et du pain
Et j'espère que tu les trouveras
Toi qui voyages au loin

Tu avais pourtant tout quitté
Ta famille, ton métier
Mais bientôt c'est ton âme
Que tu ne pourras plus contrôler
Je suis passé par-là
Et je sais qu'on est vite épinglé
Et que toujours la solitude
Reconnaît le péché

J'espère que tu les trouveras
Toi qui cherche fortune
N'allume pas la lumière
Leur adresse est écrite sur la lune
Et je ne se rai pas jaloux
De savoir que tu tentes ta chance
On ne s'aimait pas comme ça
Et c'est sans importance

Je me suis confessé à elles
A mes côtés couchés
Elles m'ont touché les yeux
Sur leurs mains j'ai senti la rosée
Si ta vie est une feuille
Que les saisons arrachent et déchirent
Ouvre-la à l'amour qui est grave
Et gracieux comme une tige


Graeme Allwright


En découvrant votre si belle poésie, j'ai tout de suite pensé à cette mélodie.

Écrit par : araucaria | vendredi, 21 mai 2010

Merci pour les liens "youtube", je ne connaissais pas du tout. Vous venez de m'offrir l'opportunité d'une belle découverte, un superbe voyage musical.
Bon dimanche.

Écrit par : araucaria | dimanche, 23 mai 2010