lundi, 07 juin 2010
GAE BOLGA
Des lances pour toute danse
Un chant zoulou sur les crêtes
Marche qui habille d'un rythme
L'harmonie des arbres
Un truc d'homme
Dont le sourire étincèle
Dans l'oreille d'une femme
Pour qui le chant résonne
D'une vibration incendiaire
A l'arôme infini
Répétition pour un hors-d'œuvre
Une caresse dans la main
Monte la pluie en douceur
Tandis que tombent les préjugés
Dans ce déshabillage insouciant
Qui effleure de son sein
La brûlure veloutée
Se laisser faire
Sous la vague qui lèche
L'intimité des feuilles
Onduler peut-être
Sur des cadences qui cascadent
Tandis que s'écoulent les filets
Qui glissent leurs arômes
Au travers des glycines
Et sourire en arpège du plaisir
Nuée ardente embuée
Par l'eau vive
Qui laisse les pulsations
Régir le don et l'abandon
Des montagnes russes
Surs lesquelles flotte
Un clin d'œil harmonieux
18:20 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je commence a ,enfin, penser qu'ecrire ressemble ou se confonde avec un dessin,rien a comprendre.
bonne tinture
Écrit par : charles | lundi, 07 juin 2010
Superbe voyage en poésie. Merci GMC.
Écrit par : araucaria | mardi, 29 juin 2010
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