mardi, 07 décembre 2010
AN ODE TO RAPE
Whatever you did or not
They'll find you guilty
In this way or another
Julian Assange
That's the beautiful message
Of the american dream
Subversion has now a new name
They call it rape
Whatever you did or not
Poetry will ever smile
Of what happened
To WikiLeaks US sycophants
21:13 | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires
Well, YOU beat me to it! I was going to write about Julian Assange today! It was good too but now if I do you will think I just did it because you did it and so now I'll wait. Grrr.. lol
Écrit par : Val | mardi, 07 décembre 2010
i rarely write about the news, but this one is quite symbolic of the pax americana era...^^, don't hesitate to write about it, your point of view is different from mine.
Écrit par : gmc | mardi, 07 décembre 2010
No it is not different than yours. So there! You really don't understand me do you? lol Good, then I'll never be boring. I don't think he did anything to those women, I think the American government has shit on the rest of the world for long enough. There. :0
Écrit par : Val | mardi, 07 décembre 2010
C'est bien d'avoir écrit sur Assange et ses assangeries.
N'est-il pas un agent du MoSSad ?
De Julien (Coupat) à Julian il n'y a qu'une voyelle.
Toujours la même chanson triste.
Je vois que, verve au poing, tu surréalises encore : alors, ce "moi", tu n'en as-toujours pas ? (Je vois pourtant dans ta réponse au message ci-dessus des "I" et des "me" et des "mine".)
Bon vent et ^^
P
Écrit par : Patrick | vendredi, 10 décembre 2010
le "je" du poète est une question qui laisse particulièrement perplexes la plupart des universitaires^^
Écrit par : gmc | vendredi, 10 décembre 2010
Encore faut-il que ce "je" soit celui d'un poète.
Écrit par : Patrick | vendredi, 10 décembre 2010
sur cette question, j'aime beaucoup le sonnet 11 de shakespeare, voilà une traduction que j'avais faite d'après l'original et une trad française de b. degott:
Aussi vite que tu vas décliner, tu grandis
Dans un des tiens, de ce que tu y laisses
Et ce sang frais, à qui tu accordes renaissance
Tu peux l'appeler tien, quand tu transformes sa jeunesse
Ici vivent sagesse, beauté et élargissement
Sans folie, vieillesse et froid déclin
Si tous le voyaient ainsi, le temps s'arrêterait
Et trois fois vingt années éloigneraient le monde
Laisse ceux que nature n'a pas fait pour mémoire
Périr lourds, déplaisants et sans forme
Regarde celui qu'elle a le mieux doté, à qui elle a donné le plus
Généreux présent que tu dois chérir généreusement
Elle t'a gravée de son sceau, et conçu de fait
Pour écrire encore et ne pas laisser mourir cet exemplaire
Écrit par : gmc | vendredi, 10 décembre 2010
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